King raconte l’histoire d’Inès, une préadolescente qui va tenter l’impossible pour sauver un lionceau. Il y a tout pour plaire aux plus jeunes dans ce film : de l’aventure, de la drôlerie, des animaux et une pincée non négligeable de réseaux sociaux !
On ne peut pas dire qu’Ines, 12 ans, et Alex, 15 ans, ont la vie facile : ils ont perdu leur mère, doivent composer avec un père constamment absent et ne sont pas des étudiants au sommet de leur popularité.
Un jour, alors qu’elle dort la fenêtre ouverte, Inès se retrouve nez à nez avec un lionceau issu, comme elle l’apprend rapidement par la suite, d’une filière de contrebande. La jeune fille solitaire crée instantanément un lien fort avec ce petit être qui semble parfaitement la comprendre et le baptise « King ». Pour éviter que la douane et son directeur ne le saisissent et ne lui réservent le sort funeste promis aux animaux qui n’ont pas leur certificat sanitaire en règle, Inès va entamer, en compagnie d’Alex et de leur grand-père Max (Gérard Darmon), un périple échevelé dont elle espère qu’il la mènera jusqu’en Afrique. Là-bas, la célèbre directrice d’une réserve naturelle qu’elle a contactée par mail a accepté d’accueillir ce drôle de pensionnaire, pouvant ainsi lui éviter un sort malheureux.
Dans la veine des récents Mystère et Le Loup et le lion, King est une production française ambitieuse, spectaculaire et pleine d’humour, avec une jeune actrice en tête d’affiche très convaincante (Lou Lambrecht).